A toi! Toi qui nous a quitté il y a un an, jour pour jour. Toi qui était moi "A"mie, ma seul confidente, que je considérais comme ma soeur et toi qui me considérait comme la tienne. Cela fait déjà un an, un an... Un an que je n'arrive plus à être bien, plus à rire aux éclats comme autre fois avec toi. Depuis que la mort t'as enlévé à nous, seul les souvenirs me restent mais là toitu n'est plus.

On faisait tout ensemble, chaque jours j'avais de tes nouvelles mais un jour ta mère a décidé de repartir dans votre pays, en Tunisie. Tu ne partais que pour un allé simple ne sachant quand pourait tu revenir, quand pourait-on nous revevoir. C'était tout comme deux soeurs que l'on séparait, c'était trop dure, trop cruel mais tel était la vie et on ne pouvait rien y faire. Alors tu es partie un jour de grande vacances et toute deux on avait dans la tête que tu pourais bientôt revenir en France. Mais celà ne c'est pas passé tout à fait comme ça...

Après ton arrivée en Tunisie tu ne pouvais plus me donner de nouvelles et moi je ne pouvais pas te contacter. C'étais dure de vivre sans toi mais tu allais bien, tu étais dans ton pays et malgrès qu'on loin de l'autre je savais que tu ne m'oubliais pas . Nous sommes restées plusieurs mois sans aucune nouvelle l'une de l'autre et chacune poursuivaient sa vie comme elles le pouvaient sans celle qu'elle considérait comme ça moitier.

Un jour tu as réussit à convaincre ta famille de revenir. Tu ne savais pas combien de temps tu resterais mais le plus important était qu'on puisse se revoir, enfin se revoir après plusieurs moi. Tu as donc pu m'appeler pour me prévenir de ton retour. Soudain moi je me m'étais à revivre, le bonheur était là et j'allais te revoir... enfin te revoir... La date de ton retour en France est donc prévue.

A cette date j'attend toute la journée un appel de toi. Pour que tu me dises que t'es bien arrivée et on va pouvoir se voir. Mais ton appelle toute la journe je l'ai attendue. Tu ne l'a pas fais donc tu avais surment du retard arriverai dans la nuit ou le lendemain se n'est pas grave car je sais que lorsque tu arriveras la première chose que tu feras c'est m'appeler.

Le lendemain je vais en cour. On est mercredi, mercredi 26 novembre 2003. Je me dis que c'est bien car vue que je n'ai pas cour l'après midi on va pouvoir se voir. A midi je reçoit un appel. Le numéro mets inconnu, c'est surment elle...

Mais seulement quand je répond se n'est pas elle à l'autre bout du téléphone. C'est ça cousine, je trouve ça bizard mais bon j'avais souvent entendu parler d'elle donc lui demande de ces nouvelles. Mes parle bizarment, ça voix, même si je ne l'avais jamais entendue auparavent, je ne la trouve pas normal. Que se passe-t-il? Elle me raconte et vite je comprends.

Sur la route, la voiture dans laquelle était ma soeur c'est fait percuter par une autre voiture. Au volant un homme qui a trop but. Lui est mort sur le coup mais le problème c'est que Safira aussi. Toi que j'attendais, on t'as prise ta vie, sans aucune raison mais on te la prise car tu était au mauvais endroit, au mauvais moment.

Longtemps il m'a fallut pour que je puisse m'en remettre  de ce coup de fils aujourd'hui je vais un peu mieux même s'il est encore dificle de repenser à tout cela surtout que tu revenais en France exclusivement pour me revoir. Si je n'avais pas étais là tu serais encore dans ton pays avec plein de belle années avenir mais cela n'était pas ton destin. Ta vie c'est arrêtée sur une route et la mienne continue sans ma soeur, sans ma moitié....

C'était le 26 novembre de l'année dernière que j'ai reçue cet appel et je m'en rappel comme si c'etait hier.

Aujourd'hui, 26 novembre, un an après, je tenais à t'écrire ça et te dire que malgrès que tu ne sois pas ma réellement soeur je t'aimais comme si tu l'étais vraiment et un amour de soeur ne se perd pas, aujourd'hui il est encore là pour toi. Là dans mon coeur.